Céline by Stéphane

Céline c’est d’abord une immense professionnelle avec ses milliers d’heures d’animations de séminaires, de coaching, de formations et de certifications. Au-delà de cette apparence, Céline c’est l’enthousiasme et la joie de se lancer dans de nouvelles aventures, de se plonger dans les processus, ou dans la création de nouveaux dispositifs de coaching, elle est toujours partante. Céline c’est aussi une capacité à s’adapter dans l’instant au contexte et à son interlocuteur pour faire avancer le processus.

Quand elle supervise je perçois toute sa puissance et ses connaissances qui sont présentes. Elle n’en fait pas étalage, elle fait le geste juste et simple. Quand elle supervise je sens sa joie de voir les supervisés grandir et progresser. Ce n’est pas seulement l’idée de bien faire son travail, mais aussi dans l’intention d’amener du bon dans le monde.


Stéphane by Céline

Stéphane c’est d’abord sa façon d’être, car il est dans l’Être (et non le Faire) ce qui lui donne une espèce de constance dans son alignement intérieur. Il est dans l’ici et maintenant et prend le soin d’entrer en relation avec l’autre. Il s’attache aussi à tenir la relation même quand elle tangue.

Peu friand des repères théoriques, il sait donner sa confiance de façon inconditionnelle tout en maniant l’explicitation : dire ce qui est sans faire mal, dans le respect de l’autre et de la relation. Il est généreux dans sa pratique.

C’est aussi un virtuose de l’écoute et des signaux faibles, compétences qu’il couple à sa capacité à reconnaître le flow. Ses gestes de superviseur sont dans l’intention et dans le moment, un peu comme si le temps ralentissait. 

Quand nous supervisons ensemble, je sais que je peux compter sur sa capacité à tenir le cadre de la supervision avec moi, à danser avec les croyances de l’autre, à se reconnecter à la simplicité et aux évidences. Son intégrité est à toute épreuve. 

Stéphane, c’est aussi le fun, et une humilité déroutante, qui lorsque nous supervisons ensemble se pose au service du groupe. Sa posture me rappelle régulièrement que les milliers d’heures de formation ne suffisent pas à faire un bon superviseur, que le superviseur, comme le coach, est son principal outil.